Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
FAMILLE DE MONDENARD
17 novembre 2010

LE MARQUIS ARNAUD DE MONDENARD DE ROQUELAURE

LES DERNIERS SEIGNEURS DE LA PASSONNE À CADILLAC

UN TESTAMENT SANS SIGNATURE À LA PASSONNE

V JOSEPH-ARNAUD DE MONDENARD DE ROQUELAURE, Écuyer, Seigneur de La Passonne naquit le 22 mars 1715 (114) et fut baptisé dans la paroisse St-Martin de Cadillac. On sait peu de choses sur lui : en 1773 il refuse avec d’autres de payer pour le Bureau de Secours de Cadillac car il se trouve injustement taxé (115). Dans son testament qu’il fit devant maître Duluc, notaire à Cadillac le 17 mars 1776, il précise qu’il a eu deux fils portant tous deux le prénom d’Arnaud. Il confie à son épouse de décider de sa succession et se trouve tellement affaibli qu’il ne peut apposer sa signature sur son testament (116). Il est mort le 29 mars dans sa maison de La Passonne et fut enseveli à Loupiac (117).

Il avait épousé par contrat du 25 mai 1766 devant Bireton, notaire royal (118) demoiselle MARIE THÉRÈSE DUMIRAT (alias du MYRAT) habitante de la Ville de Bordeaux Maison noble de La House à Barsac. Elle était la fille de Pierre-Luc DUMIRAT, sieur de Colomb et de dame Marie-Françoise Barret dont l’alliance remontait à 1727. Elle fit les démarches pour qu’un de ses fils fut inscrit dans une école militaire pour gentilhommes. Elle fut inquiétée quand ce fils fut inscrit sur la liste des émigrés. Elle avait été convoquée à l’assemblée de la noblesse en mars 1789 à Bordeaux, mais ne s’y présenta pas.

Que savons nous de ses deux fils ?

LE MARQUIS MARIN POÈTE

VI ARNAUD DE MONDENARD DE ROQUELAURE fut le dernier seigneur de La Passonne. Les services qu’il rendit à la famille royale alors qu’il était émigré en Angleterre lui valurent un titre de Marquis qu’il se garda bien de revendiquer à son retour en France. Il naquit à Barsac dans la famille de sa mère le 10 juillet 1767 et fut agréé par le roi, sur présentation de ses preuves de noblesse au Juge d’Armes d’Hozier de Sérigny pour être « admis au nombre des gentilhommes que sa majesté fait élever dans les Écoles royales » le 28 juillet 1777. Son dossier conservé à la Bibliothèque Nationale de France porte ses armes : celles des Montagu de Mondenard avec sur le tout la croix de gueules, brisure de la branche de Roquelaure « mise en cœur .»(119)

Arnaud de Mondenard de Roquelaure est incontestablement la personnalité de la branche bordelaise des Mondenard la plus connue des historiens. Il mena à la fois plusieurs carrières : marin, il atteint le grade de Capitaine de Vaisseau ; poète, il édita un long poème en vers « Le Boston » et trouva après sa mort un biographe qui le réédita ; administrateur, il devint secrétaire général de la ville de Bordeaux et conserva ce poste 18 ans ; homme politique, il su préparer le retour au pouvoir de son parti, celui de la famille royale légitime.

Très jeune il entre à l’école militaire d’Effiat en Auvergne, puis il étudie à l’école militaire de Paris où il suit entre autres cours, celui de Monge son professeur d’hydrodynamique. Grâce à son dossier militaire conservé aux Archives de la Marine, Pavillon de la reine à Vincennes (120) nous savons qu’il fut successivement :

-  Aspirant dans la Marine royale dès le 1 mai 1782

- Garde de la Marine le 1 juin 1783. Il navigue en mer Baltique au large des côtes de Russie puis traverse l’Atlantique et approche le continent Américain aux Îles-sous-le-Vent. Revenu à Paris, il réussit son examen préparatoire aux fonctions d’officier de Marine en décembre 1785. Pour atteindre ce grade il lui faut naviguer et accumuler les mois de pratique.

- Garde du Pavillon amiral le 1 janvier 1786. Il part pour un long voyage : les Indes à Pondichéry, le détroit de Malaca entre Sumatra et Bornéo, le tour de l’Afrique par le Cap. La navigation dura 45 mois. Quand il revient à Brest, la Bastille venait d’être prise. Il repart aussitôt et navigue le long des côtes Africaines jusqu’au 1 août 1790.

Dès les premiers mois de 1790 ses états de service lui permettaient d’obtenir le grade de lieutenant de vaisseau, mais les changements politiques avaient arrêté les promotions d’officier de Marine. Il fut mis en congé sans avoir obtenu le grade pour lequel il s’était tant investi.

En 1791 il quitte la France et émigre à Enghien en Belgique où se regroupait le corps royal de la Marine. Il devient Enseigne de Vaisseau en janvier 1792, participe au siège de Thionville en septembre aux côtés de Chateaubriand. Il est licencié fin novembre 1792 après la victoire des armées républicaines à Valmy. Au printemps 1793 il commande une chaloupe canonnière sur les côtes de Hollande. À cette époque sa mère est condamnée comme parente d’émigré. Les scellés sont posés sur le château de La Passonne destiné à être vendu avec la propriété familiale comme bien national (121) Le domaine fut mis en vente en prairial an III.

L’évaluation faite le 18 novembre 1793 pour le château de La Passonne, les bâtiments et les terres de Cadillac et de Loupiac d’une contenance de 27 journaux 20 lignes dont 22 journaux de vignes donna une estimation de 23760 livres à laquelle il fut ajouté 3937 livres de mobilier.

En 1794 on retrouve Arnaud en Angleterre avec Chateaubriand dans le régiment d’infanterie de la Marine royale commandé par le Général comte d’Hector. Il sera successivement : Sous-lieutenant, Lieutenant, Sous aide-major et Aide-major. Son régiment sera anéanti, pris dans le désastre de Quiberon, infligé par Hoche et les armées de la République aux troupes émigrées. Épargné, mais ayant perdu de nombreux compagnons d’armes, Arnaud rejoindra Porthsmouth pour participer à l’expédition de l’Île d’Yeu. Il sera licencié le 1 janvier 1796.

En 1796-1797 il servait en Angleterre comme Aide de camp d’une altesse royale ou d’un officier supérieur : le Duc de Castries ou plus probablement le Général comte d’Hector. Pour ses services il obtint plusieurs récompenses et distinctions :

- le Brevet de Lieutenant de vaisseau du roi qu’il espérait depuis 1790 et qu’il reçut le 20 février 1798 ;

- le Titre de marquis de Mondenard de Roquelaure obtenu à la même date ;

- la Distinction de Chevalier de l’Ordre royal et militaire de Saint-Louis. Il fut admis le 10 mai 1798 et reçu par le Général Comte d’Hector le 1 juin 1798 (122)

Pendant ce temps les choses se gâtaient à Cadillac. Le 1er thermidor an II la liquidation des droits de sa mère Marie Thérèse Du Myrat sur les biens de feu Arnaud de Mondenard de La Passonne fut prononcée (123)

Nous ignorons ce qu’il fit en 1799 et 1800. Il continua probablement à servir comme Aide de camp ou bien rentra en France incognito pour préparer un retour légal et obtenir sa radiation sur la liste des émigrés. Le 27 brumaire an IX le Préfet de la Gironde rend une décision favorable à son retour qui recevra très vite l’aval du Ministère de la police (124). Il retrouve enfin Cadillac, Barsac et Loupiac ;

Revenu parmi les siens il donne l’apparence de quelqu’un dont l’Empereur n’a pas à se méfier. Il s’adonne à la poésie et enseigne de nouveaux jeux de cartes : le Boston. Il publiera plus tard en rimes et en vers la règle de ce jeu. Un extrait permet de faire connaissance avec ses élèves de Cadillac et de Barsac :

« …Victoire à l’argument oppose l’incartade

Angélique elle-même a parfois sa boutade…

Marianne fredonne, et tout bas se dépite

Émilie, en chantant quelque ruse médite

Usurpant mon bonnet, Germain veut haranguer ;

Daudin, en jouant bien, craint de se fatiguer.

Henriette à bon droit, accuse sa mémoire

Marcelin fait tapage, ou nous conte une histoire… »

La fin de ce long poème présente la rupture de deux jeunes fiancés. C’est la fiancée qui choisit un autre parti à cause du mauvais caractère du fiancé. L’auteur suggère qu’il parle de lui-même et qu’il lui est arrivé la même déconvenue qu’au héros de son poème. Or dans les archives de la ville de Cadillac on trouve que Arnaud de Mondenard a publié le 28 prairial an IV les bans de son mariage avec demoiselle ROSE MARIE BATBEDAT fille de François et de Marie Bruno-Larue. Elle était originaire de Vicq dans les Landes. La publication des bans ne fut pas suivie d’un mariage(125).

En 1808, il entre comme Attaché dans les services de l’Administration de la ville de Bordeaux. Il publie sans nom d’auteur en 1810 « Le Boston , poème didactique en deux chants, précédé des règles de ce jeu et du tableau de ses paiements. »(126)

En 1812 d’Attaché, il devient Secrétaire général de la mairie de Bordeaux. À cette époque le domaine de La Passonne ne lui appartient plus. Monsieur Alexis Debats l’avait acheté.

Depuis le poste unique de Secrétaire général de la mairie de Bordeaux et aux côtés du maire Lynch il complote contre l’Empereur et organise le retour des royalistes et de la royauté (127) Il veille à la sécurité du Marquis de La Rochejaquelein, général vendéen qui se cachait dans le Bordelais. La marquise en témoigne dans ses Mémoires de même que  Patrice-J O'Reilly dans son Histoire complère de Bordeaux (127bis). Il prend surtout une part active à l’organisation de l’accueil triomphal du Duc d’Angoulême par la Ville de Bordeaux, première ville de France à avoir repris les couleurs royalistes le 12 mars 1814. On lui attribue un autre poème : "L’épître à S.A.R. Monseigneur le Duc d’Angoulême au sujet de son heureuse entrée à Bordeaux le 12 mars 1814 » (128). En effet, l’exemplaire imprimé de manière anonyme et conservé aux Archives municipales de Bordeaux porte sa signature et une dédicace de sa main. Par ailleurs, dans ce poème, sa muse rappelle à l’auteur qu’il fut « Élève de l’Etat » …  « à l’exil condamné, tu fuis avec horreur ».

Le Duc d’Angoulême, futur Charles X, lui décerna la décoration du Brassard de Bordeaux et la tradition veut qu’il la lui ait remise lui-même. Il le nomma Adjoint au maire de Bordeaux et l’autorisa à titre exceptionnel à conserver simultanément les fonctions de Secrétaire général de la mairie (129). Ses amis politiques sont au pouvoir. Une commission du Ministère de la Marine croyant sur le témoignage d’un ami satisfaire à ses vœux, l’admet à la retraite le 31 octobre 1814 dans le grade de Capitaine de frégate. Il ne voulait pas d’une retraite anticipée, il demande sa réactivation.

En janvier 1815 il requiert d’un héraldiste officiel, Monsieur de Saint-Allais, un avis technique à propos des armes de la Ville de Bordeaux imposées par Napoléon en 1811 (130).

Les « Cent Jours » de Bonaparte lui font quitter la ville avec « Madame Royale », Duchesse d’Angoulême, fille de Louis XVI et de Marie-Antoinette d’Autriche dont le départ de Pauillac fut illustré par le Baron Gros. Arnaud y figure en grand uniforme d’officier de la Royale.

BaronGros1815

De retour à Bordeaux après la chute de l’Empereur, il reprend ses démarches pour sa réactivation dans la Marine royale et obtient le grade de Capitaine de frégate d’Active par ordonnance royale du 9 décembre 1815. C’est à cette époque qu’il se préoccupe d’obtenir des attestations pour son titre de marquis, son grade de Lieutenant de Vaisseau et son admission dans l’ordre des chevaliers de Saint-Louis.

Le 31 mai 1817, il achète à Monsieur Roussy un immeuble, rue Répond, par acte devant maître Matthieu (131). Ce terrain donnait sur la rue Mondenard, à l’origine à ses cousins de la branche de Lalesque. Plus tard c’est sur ce même terrain que s’établira la pension Saint-Pierre de Jacques Guinot. Cet établissement sera le premier élément de ce qui deviendra le lycée de filles Mondenard, aujourd’hui lycée mixte Camille Jullian.

Arnaud écrit, toujours de manière anonyme dans « La Ruche d’Aquitaine » journal conservateur de Bordeaux.

Une nouvelle loi veut favoriser les promotions dans la Marine et Arnaud est mis à la retraite de manière définitive le 1 novembre 1817 par ordonnance royale du 22 octobre.

Dès avril 1819 il entreprend des démarches pour obtenir une pension réévaluée en fonction de ses années de service. Des difficultés apparaissent car il n’a plus les attestations prouvant son activité d’Aide de camp pendant l’émigration. Il obtient finalement satisfaction par ordonnance spéciale du roi du 22 novembre 1820. En effet il a pu produire l’extrait d’un registre concernant ses titres acquis en 1798 et où figurent ses états de service (132).

C’est à cette époque que sa situation financière se dégrade. Il emprunte.

Après la mort de Louis XVIII il reprend en avril 1824 ses démarches pour obtenir le grade à titre honorifique de Capitaine de vaisseau. Le 16 octobre 1825, à l’approche du sacre de Charles X, (autrefois Duc d’Angoulême) il réitère sa demande et obtient à nouveau satisfaction par ordonnance royale du 29 du même mois. Il avait fait intervenir son parent le Comte Duhamel. Ils étaient en effet cousins par la famille Du Myrat.

En 1829, accablé de dettes il rédige un testament au profit de demoiselle ELISABETH PORTES et de ses deux filles naturelles mineures, Catherine-Zoé Portes et Catherine-Juliette Portes. Ce testament a été interprété soit comme une reconnaissance de paternité parce qu’il en avait la forme, soit comme la caution d’une dette à l’égard de son prêteur, le Sieur Sébal, qui partageait la vie d’Elisabeth Portes. Arnaud lui-même dans son testament ne lève pas l’ambigüité, ce qui ferait pencher plutôt pour la dette. Il écrit avoir « tout laissé pour mettre ordre à mes affaires en ce moment dérangées non par mon inconduite, mais par deux horribles abus de confiance. Et qu’ainsi Dieu me soit en Aide. » Il conclut : « Un regret vengera ma mémoire, puisse-t-il ne pas être un remord. » (133)

Mais ce testament cacheté n’est connu que d’Arnaud et du Sieur Sébal et restera secret.

En août 1830 il démissionne de ses fonctions de Secrétaire général de la mairie de Bordeaux. Croyant pouvoir bénéficier de la loi du 30 mars 1831 pour l’amélioration du sort de certains officiers de marine, il fait une démarche en mai 1831 auprès du Ministre qui lui répond qu’il ne remplit pas les conditions requises.

Sous divers prétextes le conseil municipal de Bordeaux refusa de lui verser sa pension de retraite, aussi eut-il recours à l’autorité royale qui par ordonnance du 25 février 1833 contraignit la ville à lui verser une allocation de 2437,48 francs, ce qu’elle mit un an à faire.

Arnaud devait décéder dans sa maison de la rue Répond le 31 mars 1839. Le juge requis pour mettre les scellés à la demande du Sieur Sébal représentant les héritières trouva dans sa maison Marie Compoingt qui déclara ne posséder qu’une armoire et demeurer avec le défunt depuis 28 ans environ. Jeanne Zita de Mondenard, demoiselle, est présente à la pose des scellés (134).. Est-ce l’épouse de Guillaume Villars de Mondenard ?

Un érudit bordelais, Prosper Gragnon Lacoste qui avait épousé une cousine d’Arnaud édita en 1862 la biographie du marin-poète en introduction d’une nouvelle édition du poème « Le Boston »(135). Cette biographie montre que ses proches ignoraient ou feignaient d’ignorer son passé dans l’émigration et son titre de marquis. En plus d’indications généalogiques et biographiques on trouve des notes d’Arnaud « pour servir à l’histoire des événements qui ont précédé et suivi la Restauration » Il y révèle tous les noms des principaux acteurs bordelais du retour de la royauté.

 

LE FRÈRE DISPARU

VI  ARNAUD DE MONDENARD DE ROQUELAURE de la branche de La Passonne, jeune frère du précédent, vivant lors du testament de son père en 1776 est aussi mentionné sur le testament de sa tante Anne, mais il était décédé avant 1785. Nous notons la mention de Mademoiselle Constance Adélaïde Darmincourt épouse du sieur de Mondenard âgée de 36 ans et d'Augustin de Mondenard son fils, 8 ans, Constant de Mondenard son fils cadet âgé de 5 ans. Ils embarquent sur le navire la Dorothée, Capitaine le Sieur Tourronet, pour aller à la Martinique le 3 mars 1784. Nous recherchons un rapport éventuel avec le frère du Marquis.

_______________________

112 – A. M. de Bordeaux 2 E 11 – 12 messidor an IV

113 – Testament d’Angélique, Marquise d’Antin de Saint-Pée, A. D. Gironde 3 E 22460

114 – A. D. Gironde E Suppl. 623 GG 14 Cadillac

115 – A. D. Gironde E Suppl. 634 GG 25 , 12/6/1773

116 – A. D. Gironde Testament 3 E 22380

117 – A. D. Gironde Cadillac 4 E 3347

118 – le mariage fut enregistré le 1/07/1766 à St-Christoly GG 157 acte 207 et la bénédiction nuptiale fut donnée dans la chapelle domestique de LaHouse à Barsac (aujourd’hui Myrat),

119 – B.N.F. Mss Fr 32087 n°5 et Nouveau d’Hozier 239 (5440) 

120 – Archives de la Marine – Dossier d’Officier – Capitaine de Vaisseau

121 – Marcel Marion La vente des biens nationaux Bordeaux Cadoret 1911-1912, Tome1 p183 et p288

122 – le Comte de Colleville dans son livre « Les Ordres du roi » l’a oublié, pourtant les attestations le prouvant existent dans les archives publiques.

123 – A. M. de Bordeaux D 202

124 – A. N. F/7/3344. Curieusement la surveillance concerne la Corrèze et la Gironde. Obtint-il ses certificats de Corrèze comme La Chassaigne ?

125 – A. D. Gironde 4 E 4050 Cadillac

126 – Imprimé chez Racle à Bordeaux. C’est par erreur que les catalogues de la Bibliothèque nationale en attribuent la paternité à Jean de Saint-Sardos, marquis de Mondenard et fraîchement anobli. Ce dernier préférait la prose et les éditeurs parisiens.

127 – Revue hist. de Bdx J. Rambaud T 7, 228. Mémoires Mse de La R. Ch 27, pp 507 et 515. Patrice-John O'Reilly, Histoire complèrte de Bordeaux, livre VII chap.6 pp394-401. 

128 – M.C. Mahaut Revue historique de Bordeaux, 1981 page 172 note 24

129 – Arnaud est mentionné dans l’Almanach royal de l’époque comme Maire Adjoint de Bordeaux.

130 – A. N. AB XIX 3289

131 – A. M. de.Bordeaux Dossier 6870 M 6

132 – Attestation de la Maison du Roi Etat n°6 Article 71. 

133 – Testament déposé au rang des minutes de maître Fabre. L’érudit P. Gragnon-Lacoste, peutêtre concerné par le remord, écrira la biographie d’Arnaud et parlera de « défaillance, de celles que le monde reproche au vulgaire, mais qu’il ne pardonne jamais aux grands. »

134 – Nous n’avons pas pu situer la branche à laquelle elle appartenait.

135- Le Boston, poème didactique en deux chants précédé de la biographie de l’auteur (le chevalier de Montdenard) P. Gragnon Lacoste Paris E. Dentu 1862. La généalogie présentée confond la famille de Corneillan-Mondenard avec celle des Montagu de Mondenard. Par erreur la Bibliothèque nationale de France attribue  "Le Boston" au Marquis de Saint-Sardos décédé en 1823.

Publicité
Publicité
Commentaires
FAMILLE DE MONDENARD
  • HISTOIRES ET GENEALOGIES - L'origine Montagu du Quercy, les branches de St-Amans de Pellagal, Moncaut, Roquelaure, Estillac, Renouard, La Passonne, La Joussière, Pézelin, Bière, Lagrave, Lalesque, La Force, Belisle, Gachot, Autièges, Monié.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Derniers commentaires
Publicité